Solution contre la proctalgie fugace.

Que faire contre la proctalgie fugace ? Un nouveau traitement naturel sans médicaments ni effets secondaires est désormais disponible, et il agit dès les premier jour en éliminant définitivement ces douleurs très fortes qui handicapaient des milliers de personnes.

Les algies anorectales, ou douleurs périnéales, anales et anorectales sont une manifestation clinique assez fréquente de pathologie organique ou fonctionnelle de l’extrémité distale du tube digestif.

 L’anamnèse et les examens cliniques donnaient un diagnostic intéressant pour classer les douleurs, mais n’apportaient AUCUNE solution. Les proctologues ne disposaient d’aucun moyen pour mettre un terme définitivement à ces douleurs. Ils se contentaient généralement de prescrire des sprays ou autres remèdes de fortune à l’efficacité discutable…

 La proctalgie fugace se caractérise souvent par une douleur d’apparition brutale, ou crampe à l’anus, très douloureuse, dont la durée peut varier entre 5 et 60 minutes. Dans certains cas assez rares, des patients ont déjà eu une crampe anale durant de deux à cinq heures. La fréquence de ces crampes anales est de deux ou trois fois par an, à cinq à six fois par semaine.

Lorsqu’une personne souffrant de proctalgie fugace demande l’aide de son médecin, elle ne recevait généralement aucune solution, si ce n’est des antidouleurs ou des sprays, dont l’efficacité est très limitable.

Le nouveau traitement naturel développé au Brésil propose une solution vraiment utile et efficace : il neutralise l’excès d’électricité statique du corps, responsable du déclenchement des douleurs. Les crampes anales nocturnes disparaissent définitivement dès le premier jour.

Plus d’infos sur le site :

https://www.proctalgiefugace.info/

Les cancers du canal anal et de la marge anale n’entraînent des douleurs que lors-que ces lésions infiltrent le sphincter ou s’exulcèrent en surface (figure 5).

 Le bilan d’extension des lésions néoplasiques du rectum et de l’anus doit comporter une imagerie par CT-scan et/ou imagerie par résonance magnétique.

 La mise en évidence de l’une ou de l’autre de ces pathologies anorectales, à substrat anatomique identifiable, impose des mesures thérapeutiques spécifiques. On n’omettra cependant jamais d’exclure une pathologie colique sus-jacente, en demandant une coloscopie.