Arrêter de fumer grâce à la cigarette électronique, c’est possible !

Depuis quelques années, les cigarettes électroniques, ont envahi les marchés, et sont de plus en plus courantes dans la vie de tous les jours. En effet, nous connaissons tous un ou plusieurs « vapoteurs ». Mais est-ce vraiment une bonne alternative au tabac classique ? Quel en est le coût ? Permettent-elles d’arrêter de fumer définitivement ? Que dit la loi à propos de son utilisation ? Voilà le topo !

Un effet bénéfique sur la santé

Des études récentes réalisées en Angleterre par le Centre de Recherche Britannique sur le Cancer ont démontré que le vapotage permettait à de nombreuses personnes de diminuer leur consommation de nicotine et ainsi de procéder à un sevrage progressif et moins agressif qu’un arrêt complet d’un jour à l’autre.

Après un mois d’utilisation de ces cigarettes électroniques, les personnes interrogées commencent à retrouver des sens presque oubliés comme l’odorat et le goût, et reconnaissent avoir plus de souffle, ainsi qu’une peau plus nette. Elle évite également le jaunissement des dents et des ongles.

Des aspects pratiques et écologiques

Terminé les cendriers, les mégots sur les trottoirs, et les odeurs de tabac froid. Les cigarettes électroniques se présentent souvent sous la forme de pièces détachées, ce qui permet donc de remplacer chaque élément au fur et à mesure de son utilisation, et non pas l’équipement tout entier. Sur http://vaporem.fr/clearomiseurs-cigarette-electronique.html par exemple, on retrouve de nombreux modèles de clearomiseurs pouvant être achetés indépendamment.

De plus, comme il s’agît bien de vapeur qui s’en échappe, et non pas de fumée, elle se dissipe instantanément, épargnant ainsi les non-fumeurs qui se trouvent à proximité.

Cela signerait-il la fin du tabagisme passif ?

Ce que la loi française autorise

L’article 28 de la loi santé interdit l’usage de la cigarette électronique aux abords des établissements scolaires, et de ceux destinés aux mineurs en général (hébergements, centres d’accueil,) ainsi que dans les transports en commun, et dans les open-space. En dehors de ces lieux spécifiques, le vapotage est autorisé, sauf en cas de contre-indication par le propriétaire des lieux (à l’intérieur d’un restaurant ou d’un bar par exemple). La vente est également interdite aux mineurs.