Les compétences pour devenir vétérinaire

Le sens de l’observation et le geste précis

Le vétérinaire sait observer et devra faire encore plus qu’observer n’est il pas un médecin pas comme les autres car il a affaire à des patients qui sont de races différentes et qui plus est ne parlent pas.

Il doit surtout analyser le comportement des animaux pour établir le bon diagnostic. Dans nos campagnes comme ici le vétérinaire argeles sur mer dans les Pyrénées orientales; le médecin des animaux doit faire preuve d’une grande habileté lors des interventions chirurgicales. La profession exige, bien sûr, une aisance particulière avec les animaux bien plus qu’avec les hommes car chaque race d’animal est différent, alors que pour les hommes c’est bien différent.

Un vétérinaire est aussi un psychologue

Le vétérinaire est surtout un conseiller auprès des clients, des exploitants dans les villages, il est le lien entre la ville et la campagne doit en particulier pour rassurer les particuliers ou les éleveurs, parfois stressés par la maladie de leur animal ou par les risques d’épidémie menaçant leur bétail.

Le vétérinaire est surtout un conseiller auprès des clients, des exploitants dans les villages, il est le lien entre la ville et la campagne

Très disponible dans toutes les circonstances

Le métier de vétérinaire, notamment en libéral, est un apostolat car souvent bien moins rémunéré que le médecin, il lui faut faire preuve d’une très grande disponibilité. Les professionnels peuvent être soumis à des gardes. Depuis peu les vétérinaires ont aussi compris que le net est un allié de choix dans la mesure ou les clients peuvent facilement se rendre sur le site de leur vétérinaire comme celui ci par exemple : www.albeitar-vet.fr/ afin de prendre contact pour un rendez vous ou tout simplement pour avoir des informations sur la vie de l’animal. Une bonne résistance physique est également importante, surtout lorsqu’il faut immobiliser des animaux aux gabarits impressionnants (taureaux, chevaux…).

Un bon gestionnaire car c’est un métier difficile

En libéral, le praticien est souvent chef d’entreprise, il lui faut gérer son cabinet et les charges y afférentes d’une manière dynamique car souvent il doit faire l’économie d’une secrétaire ou d’un expert comptable car les visites et autres honoraires ne sont pas suffisant pour s’adjoindre des collaborateurs. Des connaissances en gestion et de la rigueur sont indispensables pour faire vivre son cabinet.